Quand le nouveau maire de New York Zohran Mamdani se réveille, il « pense à Marouane Chamakh »
Le nouveau maire démocrate de New York, Zohran Mamdani, n’a jamais caché son attachement profond à Arsenal. Invité sur la chaîne YouTube américaine The Adam Friedland Show(à partir de 8 minutes), l’élu a de nouveau affiché sa passion pour les Gunners, mais cette fois avec une confidence pour le moins déconcertante qui a immédiatement fait réagir les réseaux sociaux.

Interrogé sur l’étendue de sa culture footballistique, Zohran Mamdani a répondu avec un mélange de sérieux et d’humour : « Tous les matins, quand je me lève, je pense à Sébastien Squillaci, Pascal Cygan… ». Le maire s’interrompt alors, prend une inspiration, et lance avec un enthousiasme presque enfantin : « Marouane Chamakh ! ».
Cette référence matinale semble incarner la fidélité sans concession de Mamdani pour Arsenal. En citant ces anciens joueurs, l’élu new-yorkais montre qu’il n’est pas de ceux qui ne se souviennent que des stars ou des périodes fastes. Au contraire, il assume un attachement total, capable de traverser les saisons les plus moroses et les recrutements les plus discutés.
Cette séquence, extraite de l’entretien et largement relayée sur les réseaux sociaux, contribue à construire l’image d’un maire atypique, passionné et spontané. En pleine prise de fonctions, Mamdani apparaît comme une personnalité politique proche du public, capable d’autodérision et d’enthousiasme sincère.
Entre humour, nostalgie et fidélité sportive, Zohran Mamdani montre qu’il entend bien rester lui-même. Et à New York comme chez les supporters d’Arsenal, cela ne passe décidément pas inaperçu.

Zohran Mamdani, symbole fort d’une Amérique plurielle
À 34 ans, Zohran Mamdani incarne la nouvelle génération politique américaine : plus jeune maire de New York, premier musulman et premier élu d’origine africaine à diriger la ville. Né en Ouganda dans une famille indienne, formé aux Africana Studies, il s’est imposé par un discours social tranchant et une proximité rare avec les quartiers. Un profil atypique, symbole assumé d’une Amérique plurielle
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