Fatim et le FIRE CLUB : là où la sueur devient renaissance
Fatim a allumé une flamme qu’on n’éteint plus. Avec le Fire Club, elle transforme chaque séance en rituel de libération : un espace où les femmes transpirent leurs peurs, respirent leurs émotions et renaissent plus fortes. Ici, on ne vient pas juste bouger, on vient rallumer le feu intérieur, celui qui réveille le corps, l’esprit et l’âme. Comment ça marche?
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- Fatim, comment ça marche la puissance du “FIRE CLUB” ?
Le Fire Club, c’est une expérience complète. Ce n’est pas un simple cours : c’est un réveil d’énergie. Tout est pensé pour te reconnecter à ton corps et tes émotions: la musique, le discours, les mouvements, la respiration. C’est un cours qui fusionne plusieurs pratiques. Tu ne viens pas “faire du sport”, tu viens te rencontrer. À un moment, le mental lâche, le corps prend le relais, et tu sens cette puissance brute qui monte. C’est là que la magie opère : tu redeviens vivante, entière, libre.
- Dans la tête aussi, ça brûle : comment ça marche le lien entre corps, musique, esprit ?
Quand tu bouges en rythme, ton cerveau entre dans un état de transe légère. La musique active l’émotion, le mouvement libère ce qui était coincé, et la voix guide le mental vers autre chose. C’est un dialogue entre ton corps et ton âme. On danse avec ses blessures, on respire avec ses doutes, on transpire tout ce qu’on gardait à l’intérieur. Et petit à petit, le feu devient une forme de guérison.
Au Fire Club, Fatim ne construit pas seulement des corps plus forts, elle allume des femmes entières. Celles qui osent se reconnecter, lâcher prise et laisser le feu faire son œuvre
- Les femmes viennent chercher quoi ici selon toi ?
Elles viennent chercher un espace sans jugement, une parenthèse de vérité. Un endroit où elles peuvent être vraies, imparfaites, vivantes. Certaines arrivent fatiguées, d’autres pleines de doutes… mais elles repartent différentes. Elles se tiennent plus droites, respirent plus fort, rient plus librement. Elles viennent pour sculpter leur corps, mais elles repartent avec bien plus : une force mentale nouvelle, une clarté, une fierté d’être elles-mêmes. Elles viennent se souvenir de qui elles sont quand elles arrêtent de se cacher. Celles qui osent, qui vibrent, qui brûlent de vie. Et sans oublier — elles viennent raviver ce feu intérieur qu’elles ramènent ensuite dans leur vie, leur travail, leurs relations.
- Et toi dans tout ça, comment ça marche ton rôle de “Fire Coach” ?
Je suis là pour leur offrir un espace sûr. Un espace où tout peut être ressenti, libéré, exprimé. Je les pousse à aller au-delà de leurs limites, à écouter ce que leur corps veut dire, à accueillir leurs émotions plutôt que les fuir. Je les invite à respirer plus fort, à crier, à rire, à pleurer, à se souvenir de leur puissance. Mon rôle, c’est de les guider vers cette joie brute qui se cache derrière la fatigue, le contrôle ou la peur. Je ne cherche pas la perfection du mouvement, mais la vérité du ressenti. Parce qu’au fond, le Fire Club, ce n’est pas un entraînement pour le corps — c’est une reconnexion à soi, à la vie, à ce feu qu’on oublie parfois de nourrir.



