Arsenal et Brentford accueilleront la phase finale de la première Coupe des Championnes de la FIFA
Londres deviendra, fin janvier prochain, le cœur battant du football féminin mondial. Arsenal Stadium et le Brentford Stadium, officiellement désignés pour accueillir la phase finale de la toute première Coupe des Championnes de la FIFA, une compétition inédite qui sacrera en 2026 le meilleur club féminin du monde.
Du 28 janvier au 1er février 2026, la capitale britannique vibrera au rythme de quatre affiches majeures : deux demi-finales, un match pour la troisième place et la grande finale. Un calendrier condensé qui marque une avancée majeure dans la professionnalisation, la visibilité et l’internationalisation du football féminin de clubs.
Les demi-finales se tiendront au Brentford Community Stadium, vitrine moderne de l’Ouest londonien. « C’est une formidable opportunité d’accueillir des équipes de classe mondiale », a déclaré Jon Varney, directeur général de Brentford, rappelant l’engagement du club dans la croissance du football féminin.
La finale et le match pour la troisième place auront lieu à l’Arsenal Stadium. Sacré champion d’Europe la saison passée, le club londonien représentera l’UEFA dans cette édition inaugurale. « Nous sommes fiers que notre stade soit le théâtre de ce moment historique », a affirmé Richard Garlick, directeur général d’Arsenal.
Publication Instagram
Six clubs prendront part à la compétition : Arsenal (UEFA), Gotham FC (Concacaf), Corinthians (CONMEBOL) et le vainqueur du duel ASFAR – Wuhan Jiangda prévu le 14 décembre au Maroc, déterminant la représentante asiatique/africaine. Deux autres équipes compléteront le tableau selon les qualifications finales interconfédérations.
Conçue pour les années où la Coupe du Monde Féminine des Clubs n’est pas programmée, la Coupe des Championnes incarne l’ambition stratégique de la FIFA : renforcer la structure du football féminin de clubs, offrir de la visibilité internationale aux joueuses et instaurer, à terme, une hiérarchie mondiale permanente.
Londres s’apprête ainsi à vivre une semaine à haute intensité, où sera couronné le premier champion intercontinental féminin de l’histoire.
